Description
Extrait chapitre premier (La dernière flotte à voiles) : […] Bien souvent, un bâtiment, après un long combat contre plusieurs adversaires, avait vidé ses soutes, déversé sur l’ennemi boulets pleins, boulets ramés, mitrailles, anges : toutes ses munitions – alors, avant d’amener un pavillon glorieusement, âprement défendu, avant de remettre son épée, le capitaine faisait ce dernier geste d’élégante chevalerie : tirer à la face de l’ennemi un dernier coup de canon chargé avec son argenterie […]
Éditions du Gerfaut, 2002, 280 pages