Description
Un Paradis se meurt
Un Paradis se meurt. Alain Gerbault, préface de Pierre Albarran : […] Ce livre est le dernier ouvrage d’Alain Gerbault, mon ami. Il fut terminé peu de temps avant sa mort, survenue en 1941. J’en ai reçu le manuscrit durant la guerre. J’ai longtemps hésité à le publier, les circonstances ne me paraissaient pas favorables, car ce livre est un terrible réquisitoire contre nos méthodes de colonisation dans le Pacifique. On prétend que toute bonne vérité n’est pas bonne à dire. En l’occurrence ce n’est pas mon avis et si je me décide aujourd’hui à rendre publiques les accusations d’Alain Gerbault, c’est parce que je ne me connaissais pas le droit de transgresser plus longtemps la volonté formelle de mon ami disparu […]
Éditions SELF, achevé d’imprimé le 3 mai 1949, n°95, 278 pages