Restauration et travaux


1999 : Acteia est stationné en extérieur. Aucune bâche ne le protège des conditions météorologiques. Celles-ci alternent pluies, vents secs, gel, UV (...) qui emportent bien des bateaux du patrimoine.

Acquis la même année, Acteia est rapidement pris en charge par le chantier naval Flahault Marine. Il a en charge le refit des extérieurs et l'installation de la nouvelle mécanique.

L'intérieur, le gréement, l'accastillage, l'armement d'Acteia et sa mise au point sont confiés au futur créateur de Class Maïca alors sous-traitant pour plusieurs chantiers navals d'Arzon.

Gréement : Le mât d'Acteia est son Sparlight d'origine : avant de prendre la décision de le conserver (2002), il a reçu la visite d'une caméra filo-guidée.

Apte à reprendre du service, son profil a été débarrassé de tous ses accessoires et a subit quelques modifications au niveau :

- De sa tête, consolidée et modernisée pour pouvoir accueillir 4 réas
- De sa base, doublée pour la renforcer
- Des sorties de drisse, modifiées ou créées

Le profil du mât a ensuite été sablé, recouvert de plusieurs couches d'apprêt époxy garnissant et de plusieurs couches de peinture Alwgrip blanche (white snow).

Un tube en PVC contenant les messagers du faisceau électrique des feux et de l'antenne VHF a été introduit à l'intérieur du mât. Il a été collé au Sika sur toute sa longueur.

Échantillonnage revu à la hausse, les ferrures des barres de flèche et du bas étai ont été refaites à l'identique. Deux nouveaux supports de winchs de drisse (Andersen) en inox ont notamment été posés.

Tete de mat maica acteia

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